Culte audio du dimanche 24 mai
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Musique
« A toi la gloire »
(orgue et trompette : Marie-Louise Girod, Ibrahim Maalouf, Ô Jésus que ma joie demeure, Éditions La Cause)
Louange : 34/17 « Nous te chantons, Ressuscité »
Nous te chantons, Ressuscité,
Ton jour se lève sur l’humanité.
Tu sors vainqueur de l’ombre des tombeaux,
Soleil levant des temps nouveaux.
Tu as ouvert pour tous les tiens
En grand la porte du très vieux jardin
Où Dieu convie les hommes pour la joie
Sous l’arbre immense de la Croix.
Vous qui dormez réveillez-vous !
La nuit émet le signe de l’Époux.
Il vient chercher le peuple des croyants ;
« Amen » de gloire au Dieu vivant !
Daniel Hameline, Psalmonica evangélica, 1789.
Méditation (Sœur Myriam)
Dieu de calme et de beauté,
Dieu de tendresse et de feu,
Dieu secret, Dieu éclatant,
Dieu de passion et de larmes,
Dieu très humble et infini,
Je clamerai ton nom […]
Dieu de nos chants,
Dieu de nos rires et de nos pleurs,
Dieu des abîmes,
Dieu des tendresses,
Notre Dieu de lumière,
-Je clamerai ton nom
Sœur Myriam,Seigneur donne-nous la prière, Olivétan, 2007.
Prière de repentance 45/21
Trouver dans ma vie ta présence,
Tenir une lampe allumée,
Choisir d’habiter la confiance,
Aimer et se savoir aimé.
Croiser ton regard dans le doute,
Brûler à l’écho de ta voix,
Rester pour le pain de la route,
Savoir reconnaître ton pas.
(chanté par l’auteur : Jean-Claude Gianadda)
Après l’annonce du pardon : 64/05 (Lucien Deiss) « Donne-nous, Seigneur un cœur nouveau. Mets en nous, Seigneur, un esprit nouveau ! »
La Volonté de Dieu : 62/81
(texte Pierre Lachat, mélodie Cliff Barrows 1982)
Que la grâce de Dieu soit sur toi
Pour t’aider à marcher dans es voies !
Reçois tout son pardon et sa bénédiction,
Va en paix, dans la joie, dans l’amour !
Evangile de Jean, 17, 1-11
(Traduction Segond révisée, lu par un comédien : l’Évangile audio.)
Après avoir ainsi parlé, Jésus leva les yeux au ciel et dit : Père, l’heure est venue. Glorifie ton Fils, afin que le Fils te glorifie, selon que tu lui as donné pouvoir sur toute chair, afin qu’il donne la vie éternelle à tous ceux que tu lui as donnés. Or, la vie éternelle, c’est qu’ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus-Christ. Je t’ai glorifié sur la terre ; j’ai achevé l’œuvre que tu m’as donnée à faire. Et maintenant, toi, Père, glorifie-moi auprès de toi-même de la gloire que j’avais auprès de toi, avant que le monde fût. J’ai manifesté ton nom aux hommes que tu m’as donnés du milieu du monde. Ils étaient à toi et tu me les as donnés ; et ils ont gardé ta parole. Maintenant, ils ont reconnu que tout ce que tu m’as donné vient de toi. Car je leur ai donné les paroles que tu m’as données ; ils les ont reçues; ils ont vraiment reconnu que je suis sorti d’auprès de toi et ils ont cru que tu m’as envoyé. C’est pour eux que je prie. Je ne prie pas pour le monde, mais pour ceux que tu m’as donnés, parce qu’ils sont à toi — et tout ce qui est à moi est à toi, et ce qui est à toi est à moi — et je suis glorifié en eux. Je ne suis plus dans le monde; eux sont dans le monde, et moi je vais à toi. Père saint, garde-les en ton nom, (ce nom) que tu m’as donné, afin qu’ils soient un comme nous.
2e Lettre aux Corinthiens 3, 17
(traduction TOB)
[Moïse, descendant du Sinaï avait le visage si éblouissant de sa rencontre avec Dieu qu’il devait mettre un voile sur sa tête pour ne pas éblouir les Israélites.] « Mais le Seigneur Jésus Christ est Esprit et là où est l’Esprit du Seigneur, là est la liberté. Et nous tous, le visage découvert, nous reflétons la gloire du Seigneur. Et nous sommes transfigurés en cette même image avec une gloire toujours plus grande par le Seigneur qui est Esprit. »
A toi la gloire 34/18
1. A toi la gloire, ô Ressuscité ! A toi la victoire Pour l’éternité ! Brillant de lumière, L’ange est descendu, Il roule la pierre Du tombeau vaincu | 2.Vois-le paraître : C’est lui, c’est Jésus, Ton sauveur, ton maître oh ! Ne doute plus ! Sois dans l’allégresse, Peuple du Seigneur et redis sans cesse : Le Christ est vainqueur |
Prédication
La Gloire de Dieu n’est pas celle de Louis XIV
Le lectionnaire liturgique nous propose aujourd’hui ce texte de l’Évangile de Jean qui – il faut bien le dire – n’est pas des plus faciles à commenter, surtout dans le cadre d’une prédication de quelques minutes. Comme le Prologue de l’Évangile de Jean (les 18 premiers versets du 4e Évangile) qui est un peu son symétrique, c’est un texte qu’on n’a pas assez d’une vie pour méditer à fond !
Ce n’est pas une exagération de prédicateur de parler ainsi. Pendant des années, j’ai rendu visite chaque semaine à un vieux prêtre aveugle d’origine juive qui a passé sa vie à méditer le prologue de l’Évangile de Jean. Et cela a commencé avant même sa naissance, puisque c’est en découvrant ce texte que sa mère, alors enceinte de lui, avait décidé de se convertir au christianisme ! Ensuite, pendant la guerre, mon ami, dans son camp de prisonniers, n’avait cessé de méditer ces versets. Dans les années 1950, il a entamé des études de théologie de très haut niveau, couronnées par une thèse de doctorat. « Vous avez évidemment consacré votre thèse au prologue de Jean ? », lui avais-je naïvement demandé. « Sûrement pas ! m’avait-il répondu avec la plus grande fermeté : cela m’aurait donné l’illusion que j’avais tout compris de ce texte, que j’avais épuisé tout son sens, alors que son sens est proprement inépuisable ! »
Eh bien c’est un texte tout aussi inépuisable qui est proposé aujourd’hui notre méditation avec ce début du chapitre 17 de l’Évangile de Jean ! Mais, rassurez-vous, je vais m’abstenir de tenter un commentaire exhaustif, et je vais me contenter de commenter un seul mot du texte !
Que Dieu me pardonne, en relisant une fois de plus ce texte pour préparer cette prédication, je n’ai pas pu m’empêcher de compter sur mes doigts (ce qui est, finalement, le procédé de calcul le plus sûr, du moins pour moi !). Et mes doigts ont compté six fois le mot gloire ou le verbe glorifier dans ces 11 versets. C’est donc sûrement un des pôles du texte ; en tout cas, cela va suffire à animer notre méditation ce matin, c’est-à-dire (si possible) à lui donner une âme.
Dans les prières liturgiques, le terme gloire revient sans cesse. Si souvent même, qu’on finit par en faire une sorte de signe de ponctuation. La récitation ou le chant d’un psaume s’achève fréquemment par une « doxologie » c’est-à-dire une formule de louange et d’action de grâce. Songez par exemple au psaume 9 « Je louerai l’Éternel » : « Gloire au Père et au fils et au Saint Esprit, aujourd’hui, toujours et au siècle des siècles » Et, comme nous sommes encore dans le temps liturgique de Pâques (c’est le septième et dernier dimanche du cycle), nous allons évidemment chanter tout à l’heure de tout notre cœur le grand « tube » des cantiques protestants : « A toi la gloire, ô Ressuscité ».
Mais de quelle gloire s’agit-il ? Cela vaut sans doute la peine qu’on y réfléchisse une bonne fois, si l’on ne veut pas prier comme des perroquets en répétant des mots dont on ne comprend pas le sens ou peut-être dont on ne cherche même plus à comprendre le sens !
Spontanément, on aurait tendance à comprendre la gloire de Dieu à l’image de la gloire des rois de la terre. Spontanément on ferait de Dieu une sorte de Louis XIV tout-puissant, despote absolu et sans réplique.
Mais j’ai bien peur que, si l’on se fait une telle idée de la gloire de Dieu, la prière d’action de grâce ne soit complètement dévoyée, pour ne pas dire blasphématoire. Si Dieu est pour nous une sorte de souverain absolu, l’action de grâce risque de devenir une parole de courtisan qui flatte son interlocuteur pour en obtenir des subventions ou la Légion d’honneur Holà ! Arrêtons de rêver, de cauchemarder ou de délirer et, comme toujours, revenons au texte même de la Bible lu avec attention et dans l’espoir d’y trouver un écho de la Parole de Dieu. Mais, pour cela, il nous faut au préalable prier pour que l’Esprit Saint nous éclaire, comme dit Calvin.
La gloire de Dieu, dans la Bible, c’est la manifestation visible de Dieu. Dans le Premier comme dans le Nouveau Testament, elle est accompagnée par la nuée qui la voile et l’illumine en même temps. Rappelez-vous la colonne à la fois brillante et obscure qui accompagne les hébreux nuit et jour dans leur exode à travers le désert. Ou pensez à la scène de la Transfiguration du Christ : tout à coup la nuée s’abat sur Jésus en gloire et les trois disciples qui l’accompagnent ne s’y trompent pas : c’est Dieu le Père lui-même qui vient confirmer en personne la divinité du Christ.
Alors, le texte qu’on vient de lire devient beaucoup plus clair si l’on remplace « glorifier » ou « gloire» par « manifester » ou « manifestation de la nature divine ». Essayons la transcription : « Père l’heure est venue, montre la nature divine de ton fils, afin que ton fils montre quel Dieu tu es. » « J’ai manifesté quel Dieu tu es pendant mon passage sur la Terre » Et, soit dit entre parenthèses, nous qui sommes un peu familier de l’Evangile, nous voyons comment Jésus a manifesté quel Dieu est son Père : par sa sollicitude pour les malades et les exclus, par son enseignement, par sa vie donnée. « Et maintenant, poursuit Jésus qui s’apprête à quitter la terre, Père manifeste la nature divine que j’avais auprès de toi avant la création du monde… » Ce verset, vous l’avez peut-être repéré, ne fait que répéter, presque mot à mot, les tout premiers versets de l’Évangile de Jean : « Au commencement était le Verbe ; le Verbe était tourné vers Dieu et le Verbe était Dieu. Tout fut par lui et rien ne fut sans lui. » En mourant et en ressuscitant, Jésus redevient pleinement Dieu auprès du Père.
La dernière mention du verbe glorifier est peut-être la plus étonnante. À propos de ses disciples Jésus dit : qu’il est «glorifié en eux ». Autrement dit : ses disciples doivent manifester, par leur façon de vivre, qui est Dieu! Or, tout l’Évangile de Jean présente un Dieu rempli d’amour pour l’humanité. Dans ma jeunesse, j’ai rencontré un étudiant en théologie un peu « fleur bleue » – c’est le cas de le dire – qui aimait prier dans la nature et dans son oraison, il lui arrivait d’effeuiller la marguerite : « Dieu nous aime un peu, beaucoup, passionnément, à la folie… » et notre aimable poète de la prière faisait en sorte pour que ses effeuillages en restent toujours sur « Dieu nous aime passionnément, à la folie » !
Oui, c’est bien d’une folie d’amour qu’il s’agit ! Dans son discours d’adieu à ses disciples, quelques versets avant ceux que nous venons de lire, Jésus, pour annoncer la passion qui l’attend, déclare qu’il va être… glorifié ! Étrange gloire divine, tout de même, que d’être exécuté comme le dernier des esclaves et de la façon la plus cruelle comme la plus humiliante ! Non, décidément, la gloire de dieu n’a vraiment rien à voir avec la gloire de Louis XIV ! Sur ce point comme sur beaucoup d’autres, le christianisme est un tissu de paradoxes. Pour comprendre la glorieuse humiliation du Christ, son glorieux abaissement, sa glorieuse souffrance de crucifié, il faut se souvenir de ce qu’il disait à ses disciples pour annoncer et expliquer son exécution prochaine : « Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu’on aime. » La gloire divine de Jésus victime d’un procès truqué, La gloire divine de Jésus torturé, La gloire divine de Jésus qui meurt dans d’atroces souffrances, c’est une folie d’amour. Personne sans doute n’a jamais égalé la générosité de son amour qui s’est donné jusqu’aux extrême limites du don.
À cette lumière, on comprend mieux sans doute en quel sens Jésus dit que ses disciples ont été et seront glorifiés à leur tour, donc qu’ils auront en eux quelque chose de divin. Du reste, Paul ne dit pas autre chose dans le verset de la Seconde épître aux Corinthiens que nous avons lu tout à l’heure : « Nous tous, nous reflétons la gloire du Seigneur et nous sommes transfigurés en cette image du Christ avec une gloire toujours plus grande » (littéralement dans le texte grec : « en allant de gloire en gloire »)
Eh oui, chers amis, voilà l’extraordinaire nouvelle dont, pourtant, les réseaux sociaux et les journaux télévisés n’ont pas dit un mot, eux pourtant qui sont si bavards et si prodigues de tant et de tant de vraies et de fausses nouvelles. Eh oui, chers amis, voilà la plus extraordinaire nouvelle qu’on ait jamais dite : nous reflétons sur nos visages et dans nos vies la gloire de Dieu !
Eh oui, chers amis, ce reflet du Christ et par lui de Dieu sur nos visages humains et sur nos vies humaines, cette vie divine que Jésus projette en nous, ce n’est pas seulement une vie intérieure, une vie de prière plus intense ; mais aussi et peut-être d’abord, à son imitation, une qualité d’attention à autrui, une qualité d’accueil de l’autre, une qualité de service qui nous rende vraiment fraternels avec toutes celles et tous ceux que nous rencontrons. Et si, comme dit la Première épître de Jean « Dieu est amour », c’est ainsi que nous serons et que déjà nous sommes divinisés, à l’image et à la ressemblance de Jésus-Christ, notre frère et notre Dieu.
Alors pendant le moment de calme et de recueillement qui suit cette prédication, demandons-nous quels sont celles et ceux pour qui nous allons être, dans les jours qui viennent, ce visage de gloire de Dieu et de son Christ, ce visage amical, serviable, accueillant, en un mot pleinement humain parce que pleinement divinisé. Amen !
Confession de foi
Confessons notre foi au Christ avec certains témoins de sa venue que nous rencontrons au fil des pages de l’Évangile de Jean :
- Avec les gardiens du Temple, nous disons du Christ : « Jamais un homme n’a parlé comme cet homme ! » (Jn 7, 46)
- Avec le pharisien Nicodème, nous disons au Christ : « Maître, nous savons que tu viens de la part de Dieu » (Jn 3, 2)
- Avec les témoins de la multiplication des pains, nous disons au Christ : « Nous le savons, tu parles au nom de Dieu, tu es vraiment celui qui devait venir dans le monde » (Jn 6, 14)
- Avec Simon-Pierre, alors que tout un groupe de disciples cessent de suivre Jésus, nous disons au Christ : « Seigneur, à qui d’autre que toi irions-nous : tu as les paroles de la vie éternelle »
- Avec Nathanaël et Marthe, nous disons au Christ : « Tu es le Fils de Dieu » (Jn 1, 49 ; Jn 11, 27)
- Avec les Samaritains nous disons au Christ : « Tu es vraiment le Sauveur du monde » (Jn 4, 42)
- Avec Thomas, nous disons au Christ ressuscité : « Mon Seigneur et mon Dieu » ! (Jn 21, 28)
Offrande (moment musical)
sur le thème de « Confie à Dieu ta route » 47/04 (Charles Dombre, 1935 ; Paul Gerhardt 1653)
Confie à Dieu ta route,
Dieu sait ce qu’il te faut.
Jamais le moindre doute
Ne le prend en défaut.
Quand à travers l’espace
Il guide astres et vents,
Ne crois-tu pas qu’il trace
Ma route à ses enfants ?
Annonces : le culte devrait avoir lieu au temple dimanche prochain, mais que les plus âgés d’entre nous se « déconfinent » avec prudence ! N’oublions pas les finances de la paroisse qui ont souffert du « confinement » (nos chéquiers aussi ont été confinés : il faut de toute urgence les déconfiner !)
Prière d’intercession
Reprenons, pour cette prière d’intercession, les mots même de Jésus dans son discours d’adieu à ses disciples.
- Père, nous prions pour les chrétiens de toutes les Églises, ces sœurs et ces frères pour qui la vie éternelle est déjà là quand ils te reconnaissent, Dieu de toutes les tendresses, et celui que tu as envoyé dans le monde, Jésus notre Christ. (Jn 17, 3)
- Père, nous prions pour eux tous et avec eux, pour qu’ils soient pleinement en communion entre eux et avec toi, Père. Par la médiation du Christ Jésus, notre frère et notre Seigneur, que l’amour dont tu as aimé ton Fils soit en eux. (Jn 17, 11)
- Père, tu nous as envoyés dans le monde pour témoigner de ta parole. Nous prions pour et avec celles et ceux qui, grâce à nous ou malgré nous, en viennent à connaître le Christ et à croire en lui. Conforte-les dans leur envie de connaître l’Évangile de ton fils (Jn 17, 21)
- Père, nous prions pour les femmes et les hommes qui vivent dans la détresse matérielle ou morale. Que ton Christ qui a vaincu la détresse et la mort soit avec eux sur leur chemin de peine. (Jn 16, 33)
- Père, Jésus nous l’a promis : tout ce que nous te demandons en son nom et dans son esprit, tu nous le donneras. Alors, donne-nous assez d’humilité pour nous confier à toi en toute simplicité afin que, dans le Christ, notre joie soit parfaite comme la sienne ! (Jn 16, 24)
- Père, envoie-nous l’Esprit Saint Paraclet, qu’il nous fasse accéder à l’entière vérité du message du Christ et à sa vie donnée.
Et dans la confiance, reprenons à notre compte la prière que Jésus a apprise à ses disciples en les invitant à « habiter » personnellement deux des prières traditionnelles de la synagogue : NOTRE PÈRE….
Exhortation et envoi
Jésus disait à ses disciples d’hier et d’aujourd’hui : « Ce n’est pas vous qui m’avez choisi, c’est moi qui vous ai choisis. Je vous envoie dans le monde produire des fruits et des fruits qui durent. Ainsi mon Père vous donnera tout ce que vous lui demanderez en mon nom. Ce que je vous demande, c’est de vous aimer les uns les autres. » (Jean 15, 16-17)
Bénédiction
Que l’amour dont le Père a aimé son fils Jésus notre Christ soit en nous ! (Jean 17, 26)
Et que le Christ nous soit présent tout au long de nos jours,
afin que sa joie soit en nous, et sa joie en plénitude ! (Jean 17, 13)
Amen !
Musique
« Confie à Dieu ta route »
(orgue et trompette : Ibrahim Maalouf, Editions La Cause)
Culte audio préparé par Michel Barlow, en lien avec le groupe Les Enjeux de la Parole, qui se réunit le jeudi après-midi une fois par mois (hors pandémie), et que vous pouvez rejoindre si vous le souhaitez. Cliquez ici pour en savoir plus sur ce groupe.
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